En subventionnant l’action sociale, l’État fait des économies !

Les 34 organisations membres du Collectif d’associations pour l’action sociale (CAPAS) fournissent au moins 325’000 prestations essentielles à plus de 88’000 personnes en situation de précarité.

Si l’État devait assumer cette obligation constitutionnelle, le coût de ces services serait, rien que pour la charge salariale, de 37 % à 40 % plus élevé que les subsides versés aux associations du CAPAS.

Ces dernières peuvent de plus compter sur d’importants autres soutiens (dons de privés, d’entreprises ou de fondations), ce qui montre à quel point il vaut la peine de soutenir le monde associatif dans le domaine de l’action sociale.

Or en voulant baisser de 5 % sur trois ans les subventions aux associations, l’État se tire une balle dans le pied ! C’est ce qui ressort d’une étude de la Haute École de travail social (HETS) - en collaboration avec l’IDHEAP (Université de Lausanne) -, dont les résultats viennent d’être publiés.

La suite du communiqué est disponible sur le site du CAPAS.

Vous pouvez également consulter le rapport complet.

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